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CEI REUNION - Le blog

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24 novembre 2024

Le site officiel de l'association CEI REUNION : cei-reunion.org

 

 

 

7 novembre 2024

« Au harcèlement, on dit NON ! » : découvrez notre affiche

Pour marquer cette journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, nous vous présentons notre nouvelle affiche. Cette affiche, riche en symboles, est une invitation à la réflexion et à l'action. Nous allons décrypter pour vous chaque élément de notre affiche :

Le mur en arrière-plan : Un reflet de la violence notamment sur les réseaux sociaux, lieux d’échanges rapides et non contrôlés où tous les commentaires si faciles à faire participent consciemment ou pas à l'amplification des actes de harcèlement.

Les enfants unis au premier plan : Le pouvoir de l'unité et de l'entraide pour lutter contre le harcèlement scolaire. L'importance de la solidarité entre jeunes victimes ou pas qu’ils soient filles ou garçons, grands ou petits car le harcèlement touche tous les sexes et tous les niveaux.

Le "NON" lumineux : Un symbole d’espoir et de détermination mais aussi un appel à l'action et à l'engagement.

Le 3018 : Numéro unique gratuit à retenir pour signaler tous les cas de harcèlement.

Vous pouvez télécharger :

Le fichier PNG en cliquant ici

Le fichier PDF en cliquant ici

Retrouvez-nous sur notre site : cei-reunion.org 

31 octobre 2024

AUGMENTATION DU SMIC AU 1er NOVEMBRE 2024 : Tout ce qu’il faut savoir

À partir du 1er novembre 2024, le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance (SMIC) en France sera revalorisé de 2 %. Cette augmentation porte le montant brut horaire à 11,88 €, soit un salaire mensuel brut de 1 801,80 € pour une durée légale de travail de 35 heures par semaine

Pourquoi cette augmentation ?

Cette revalorisation anticipée intervient en réponse à l’évolution de l’inflation, particulièrement pour les ménages aux revenus les plus faibles. Habituellement, le SMIC est réévalué chaque année au 1er janvier, mais des ajustements peuvent être faits en cours d’année si l’indice des prix à la consommation augmente de plus de 2 %

Impact sur les travailleurs

Pour les salariés, cette augmentation représente une hausse nette de 27,61 € par mois, portant le salaire net mensuel à 1 426,30 €

Cette mesure vise à améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs, en particulier dans un contexte économique marqué par une inflation persistante.

Conséquences pour les employeurs

Les employeurs devront ajuster les salaires en conséquence, ce qui pourrait avoir un impact sur les coûts de main-d’œuvre. Cependant, cette augmentation est également vue comme un moyen de soutenir la consommation intérieure, en augmentant le revenu disponible des ménages.

L'objectif final est d'améliorer les conditions de vie et de travail des citoyens.

 

30 octobre 2024

LA BOURSE AU RECRUTEMENT

Vous êtes lycéen ou déjà étudiant ? L’armée de Terre vous aide à financer vos études grâce à la bourse au recrutement. Cette allocation financière est versée à des élèves ou des étudiants qui s’engagent en contrepartie à servir dans l’armée de Terre après l’obtention d’un diplôme ou d’une formation. En fonction de votre niveau d’études, vous signerez un contrat en tant que militaire du rang, sous-officier ou officier. 

COMMENT OBTENIR CETTE AIDE ? 

 Critères d’éligibilité :

  • Être de nationalité française ;
  • Être volontaire et motivé ;
  • S’engager par convention à souscrire un contrat d’engagement dans l’armée de Terre pour servir en tant que militaire dès l’obtention de votre diplôme ;
  • Pour le cycle scolaire, déposez un dossier de candidature dès maintenant et avant le 1er août. 

Cette allocation s’adresse à vous si vous préparez :

  • Un bac pro ou techno 
  • Un BTS / DUT / licence pro / BUT
  • Une licence
  • Un master 1, 2 ou un titre d’ingénieur. 

Si vous souhaitez plus d’informations, Prenez rendez-vous ici.

 

7 janvier 2024

Voeux 2024

 

Bonne année 2024 !

Toute l'équipe de CEI REUNION vous souhaite ses meilleurs vœux de santé, de joie et de réussite pour 2024. " Chaque réussite commence avec la volonté d'essayer ". Nous souhaitons donc d'essayer, de commencer et de recommencer s'il le faut et d'atteindre la réussite dans tous vos projets. Bonne année 2024 !

https://cei-reunion.org

 

3 juillet 2023

Les six raisons principales des difficultés d’insertion des jeunes majeurs sortant de l'ASE

En 2023, plus de 35 000 jeunes majeurs bénéficient d’une mesure de la protection de l’enfance.

Crédit photo Mr Korn Flakes - stock.adobe.com

Publié mardi 27 juin par le Conseil d’orientation des politiques de jeunesse (COJ) et le Conseil national de la protection de l’enfance (CNPE), à l'occasion des Assies nationales de la protection de l'enfance qui se déroulent à Nantes les 29 et 30 juin, le rapport « Laissez-nous réaliser nos rêves » détaille les difficultés d’insertion sociale et professionnelle des jeunes majeurs sortant des dispositifs de la protection de l’enfance (ASE et PJJ). Ce document a été réalisé à partir de la compilation d'études et d’auditions des premiers concernés. Et propose 48 préconisations pour améliorer la situation.
  1. Un parcours scolaire chaotique et écourté. 59 % des jeunes confiés à la protection de l’enfance ont déjà redoublé, et ce avant l’entrée au collège pour 39 % d’entre eux. Ils sont souvent poussés vers des études courtes, y compris s’ils ne le souhaitent pas ou avec de bons résultats : seuls 13 % préparent un bac général contre 51 % pour la population générale. Une orientation provoquée par un besoin d’indépendance financière rapide.
  2. Un contexte financier problématique. Généralement privés de soutien familial, les anciens bénéficiaires de l’ASE et de la PJJ sont dans une situation de pauvreté monétaire.
  3. Des difficultés de logement. A la sortie de l’ASE, seul un tiers des jeunes majeurs accède à un logement (très majoritairement dans le parc privé). La plupart sont hébergés chez un proche (41 %), ou dans des institutions, résidences habitat jeunes, hôtels ou résidences sociales (25 %). Certains connaissent des épisodes de vie à la rue. Parmi les sans-abri de moins de 25 ans, 32 % sont passés par l’ASE.
  4. Des besoins de santé spécifiques. En situation de handicap (15 % des suivis), atteints de troubles de santé (36 % déclarent un état de santé mauvais ou très mauvais) ou de maladies psychiques (81 %), davantage sujets à des conduites à risques, et plus concernés par une parentalité précoce, les anciens de l’ASE pâtissent souvent de maltraitances subies dans leur enfance. Et beaucoup peinent à faire la démarche vers les soins nécessaires.
  5. Un manque d’information concernant leurs droits. Ces profils à multiples vulnérabilités font face à des difficultés concernant les démarches administratives et sociales. Ainsi, une grande majorité d’entre eux ne perçoivent pas la prestation à laquelle ils ont droit.
  6. Des disparités de traitement sur le territoire. Les améliorations apportées par la loi du 7 février 2022 – qui prévoit notamment la prise en charge obligatoire des majeurs âgés de moins de 21 ans ne bénéficiant pas de ressources ou d’un soutien familial suffisants lorsqu’ils ont été confiés à l’ASE avant leur majorité, par exemple par le biais du contrat emploi jeune et d’un accompagnement vers l’autonomie – ont certes entraîné une augmentation des jeunes majeurs suivis (+ 30 % entre 2019 et 2020). Mais elles ne sont pas appliquées uniformément dans tous les départements. Suivant les endroits, le taux de prise en charge varie de 5 pour mille à 20 pour mille.

C’est pour remédier à ces difficultés que le COJ et le CPNE ont établi 48 préconisations, guidés par un même cap : créer un droit « spécifique et non limité dans le temps » pour les jeunes sortis de la protection de l’enfance. Ils insistent particulièrement sur quatre points :
« Que l’Etat garantisse effectivement un niveau de ressources minimum aux jeunes sans soutien familial bénéficiant d’une mesure de protection jeune majeur, par le versement systématique et sans condition d’une allocation au moins équivalente au CEJ ; qu’il organise et facilite l’accès aux soins, à la formation et aux études supérieures des jeunes protégés ; que les départements garantissent, avec les associations, la continuité de l’accompagnement des jeunes sortant des dispositifs, jusqu’à l’autonomie, y compris au-delà de 21 ans, quand le projet du jeune le justifie ; qu’ils veillent à ce que les jeunes connaissent leurs droits et puissent les faire valoir, qu’ils leur permettent de développer leurs réseaux de sociabilité et leur ouverture au monde. »

 

Source : ASH - Publié le : 29.06.2023 Dernière Mise à jour : 29.06.2023 Par : Anne Noémie Dorion

1 avril 2023

Jobs d'été 2023 : à quel âge et dans quelles conditions ?

Crédits : igor kell - adobe.stock.com

Baby-sitting, accueil dans un camping, vente de glaces sur les plages, centres aérés, hôtellerie-restauration, tourisme, travaux saisonniers agricoles, commerce... Vous êtes à la recherche d'un job d'été pour financer vos études ou vos vacances ? À quel âge peut-on commencer à travailler ? Quels sont vos droits en tant que salarié ? Quel est le salaire minimum selon votre âge ? Des conditions de travail particulières sont-elles prévues ? Service-Public.fr répond à vos questions.

Un job d'été est un emploi comme un autre, il est donc soumis au droit du travail en ce qui concerne :

  • l'âge à partir duquel on peut travailler : vous pouvez travailler dès 16 ans avec l'autorisation écrite de votre représentant légal (père ou mère, par exemple). Le travail peut toutefois être autorisé à partir de 14 ans, mais des règles particulières doivent alors être respectées. Dans les faits, les employeurs recrutent davantage les jeunes de plus de 18 ans ;
  • le salaire : il est versé chaque mois avec un bulletin de paie. Il est au moins égal au Smic pour les 18 ans et plus, sauf convention collective plus favorable. La rémunération minimale versée aux mineurs ayant moins de 6 mois d'activité professionnelle est de 80 % du Smic pour les moins de 17 ans et de 90 % du Smic pour les jeunes de 17 à 18 ans. Depuis le 1er janvier 2023, le montant du Smic est de 11,27 € bruts de l'heure, soit 1 709,28 € bruts par mois sur la base de 35 heures hebdomadaires ;
  • le contrat de travail : il est forcément à durée déterminée et peut prendre différentes formes (CDD, contrat de travail saisonnier, contrat de travail temporaire...) ;
  • les conditions de travail : vous devez respecter les règles générales du travail. Vous êtes soumis aux mêmes obligations que les autres salariés de l'entreprise (respect du règlement intérieur par exemple) et vous avez accès aux mêmes avantages (cantines, pauses...).
    Toutefois, si vous avez moins de 18 ans, vous bénéficiez de protections particulières :
    • durée maximale de travail : entre 14 et 16 ans, pendant les vacances scolaires, vous ne pouvez pas travailler plus de 35 heures par semaine ni plus de 7 heures par jour ;
    • vous ne pouvez pas travailler la nuit ;
    • vous n'avez pas le droit de faire certains travaux : les mineurs de 14 à moins de 16 ans travaillant pendant leurs vacances scolaires ne peuvent être affectés qu'à des travaux légers qui ne sont pas susceptibles de porter préjudice à leur sécurité, à leur santé ou à leur développement.

 

Publié le 23 mars 2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

  À noter : Un site internet dédié aux jobs d'été donne accès à toutes les informations pratiques à connaître (identifier le type de job que vous souhaitez, rédiger un CV et une lettre de motivation, organiser sa recherche...) et à des offres d'emploi. La plateforme 1 jeune, 1 solution propose également des offres d'emplois saisonniers ou des CDD.

22 janvier 2023

Offres de contrat d'apprentissage non pourvues au 16 janvier 2023

OFFRES CMA 16JANV23-1OFFRES CMA 16JANV23

22 janvier 2023

Aide de 6000€ POUR EMBAUCHER UN APPRENTI

 

Jeunes alternants : une aide de 6 000 euros versée aux employeurs en faveur de votre embauche

Une aide exceptionnelle de 6 000 € maximum est accordée aux employeurs qui recrutent des alternants (apprentis et jeunes en contrat de professionnalisation) entre le 1 er janvier et le 31 décembre 2023. Elle vise à faciliter l'entrée dans la vie professionnelle des jeunes particulièrement touchés par les conséquences de la crise sanitaire.

https://www.service-public.fr

 

 

22 janvier 2023

Les revalorisations de ce début d'année

 

Le Smic revalorisé de 1,81 % au 1er janvier 2023

Au 1 er janvier 2023, le Smic va atteindre 1 709,28 euros bruts par mois, soit 1 353 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. L'Insee a confirmé ces chiffres le 15 décembre 2022. Il s'agit d'une hausse de 1,81 % qui ne s'assortira pas d'un coup de pouce du gouvernement, ainsi que l'a annoncé le ministre délégué chargé des Comptes publics.

https://www.service-public.fr

 

Gratification minimale du stagiaire : calcul et montant en 2023

L'employeur peut, sous certaines conditions, verser aux élèves ou aux étudiants en stage en entreprise, une compensation financière appelée gratification minimale. Le montant minimal de la gratification d'un stagiaire est réévalué de 6,9 % au 1 er janvier 2023 et passe à 4,05 € de l'heure au lieu de 3,90 €.

https://www.service-public.fr



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